mardi 25 septembre 2018

À propos de RONNIE HAWKINS.




Bob Dylan n'existe pas, du moins le Bob Dylan électrique et qui à Glasgow se serait fait insulter... - un coup de marketing ! - de Judah par un mercenaire des services d'espionnages américains déguisé en beatnick écossais et embauché par le cinéaste Martin Scorsese pour le besoin de la réalisation d'un documentaire. Bob Dylan c'est musicalement un tout, un homme à tout faire et une prodigieuse femme de ménages, un sacré concept à la fois artistique et culturel qui existe tout en n'existant pas !? J'imagine vos têtes ! Cela peut paraître complexe et improbable pourtant j'ai rassemblé des preuves irréfutables qui ne sont d'ailleurs pas dissimulées et ne l'ont jamais été, tel ce film de Larry Charles paru en 2003 "Masked & Anonymous" qui est l'une des pierres angulaires au sujet de l'une des multiples caractéristiques identitaires de Bob Dylan. Tout aussi fondamental est ce point qui concerne le lien entre le rocker canadien Ronnie Hawkins et Robert Zimmerman alias et soit disant Bob Dylan ; lorsque que Bob Dylan après une poignée d'albums folk-blues, sobres et essentiellement acoustiques décident de virer électriquement rock pour rouler comme une pierre de teigne à la Rimbaud, il lui faut un orchestre pour pouvoir l'accompagner sur scène puisqu'il ne pourra plier dans ses bagages le fameux guitariste de blues Mike Bloomfleid qui joue sur I Like a Rolling Stone et les autres perles incendiaires, incandescentes des deux premiers 33 tours électriques de Bob Zimmerman mais Robert Dylan a plus d'une idée dans sa gibecière puisqu'il a déjà volé quelques années auparavant tous les disques de la collection de Dave Van Ronck, donc sans scrupule le petit Robert fait le hold-up sur The Hawks le groupe de rock canadien qui joue sur disque, aussi en concert avec le rocker Ronnie Hawkins, canadien lui aussi, et que Bob Robert Dylan Zimmerman a décidé que c'était le meilleur groupe de rock 'n' roll du moment ! Ce qui ne parait encore aujourd'hui pas idiot si on écoute bien. Le rapt musical du siècle 20 est dans la musette de Jack Fate, le seul vrai nom à retenir de Bob Stagger Lee Dylan, The Hawks se baptisent à nouveau et le nom est simple comme bonjour ! C'est The Band (L'Orchestre), en effet pourquoi chercher midi à quatorze heure ? La suite pendant plus de dix années, douze je crois, jusqu'à une dernière valse en 1978, The Band nous ferons croire que sur scène Bob Dylan existe. Et Ronnie Hawkins dans tout cela me direz vous ? Mais au final, je ne vous en dirait pas plus car je ne désire pas d'escarmouche avec le Président Orange de Donald du Picsouland ; par contre, je le jure sur la Bible, la fois prochaine je vous raconte qu'en fait le Pelvis Presley était une femme.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'.







BONUS

ENCORE...

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