dimanche 30 septembre 2018

À propos de BIG BOPPER.

- RAAAdaRRR au tRAAAvAAAil. -



Big Bopper est à la musique populaire des U.S.A ce que Gozilla est au cinéma d'auteur, ce les chiffres sont à l'alphabet, plus simple ! Ce que la carotte est à la frite. Sa plus grande réussite est d'avoir mis de la crème Chantilly sur la soit disant prétendue subversion du rock 'n' rock et même un Franck Zappa qui aurait été dépucelé au vitriol, ne fait pas le poids à côté de lui ! Alors les Marcels et leurs Zorkhestes puis autre Ritals Ricards de (f)Rance and the Panarre faut-il vous dire qu'ils iraient se rhabiller en chœurs dans tous les Emmaus de ce qui reste de la planète terre qu'absolument rien de rien,  non ! Rien de rien, ma chère Edith ne serait être suffisant à ce qu'ils peuvent... avec leurs déguisements de Deschiens corrompus aux euros-francs de l'alternatif courant des cultureux bobos relookés au punk-camembert et boites à sardines ...piaffer plus délicieusement faussement ridicule que ce Big Bopper improbable et qu'il n'y a eu guère que Frank "Harmonica" Floyd, l'éternel looser de l'écurie Sun Records du bon Sam, docteur chez Philips, pour faire mieux mais cela est une autre histoire comme celle de vous raconter aussi un jour... - Chose due ! Chose promise ! ...que Pelvis Presley n'était pas un homme mais une femelle. Peut-être que l'on pourrait faire entrer en scène le groupe britannique dont j'ai zappé le nom mais que le Camarade de Berck-plage d'Edziré a laissé sous entendre que c'était les Monty Pithon de la rock musique mais ce serait tout de même essayer d'y aller au culot que de se persuader tel un pervers narcissique que ces derniers seraient des philosophes en matière de contre-culture. Tout cela certainement est peut-être exagéré de ma part, ne croyez vous pas ? En tout cas type qui enregistre avec autant de savoir faire une imbécillité telle que "Purple People  Eater Meets The Witch Doctor" avait du bon sang et du sens pertinent dans ses veines. Bip ! Bip ! Super Didier, pas celui de Berck ! n'est qu'une tâche de mauvais pinard qui me nous a jamais fait pas même sourire tandis que Big Bopper, il autorise à nos boyaux de se tordre de rigolade. CHAMPION !

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edziré.

mardi 25 septembre 2018

À propos de RONNIE HAWKINS.




Bob Dylan n'existe pas, du moins le Bob Dylan électrique et qui à Glasgow se serait fait insulter... - un coup de marketing ! - de Judah par un mercenaire des services d'espionnages américains déguisé en beatnick écossais et embauché par le cinéaste Martin Scorsese pour le besoin de la réalisation d'un documentaire. Bob Dylan c'est musicalement un tout, un homme à tout faire et une prodigieuse femme de ménages, un sacré concept à la fois artistique et culturel qui existe tout en n'existant pas !? J'imagine vos têtes ! Cela peut paraître complexe et improbable pourtant j'ai rassemblé des preuves irréfutables qui ne sont d'ailleurs pas dissimulées et ne l'ont jamais été, tel ce film de Larry Charles paru en 2003 "Masked & Anonymous" qui est l'une des pierres angulaires au sujet de l'une des multiples caractéristiques identitaires de Bob Dylan. Tout aussi fondamental est ce point qui concerne le lien entre le rocker canadien Ronnie Hawkins et Robert Zimmerman alias et soit disant Bob Dylan ; lorsque que Bob Dylan après une poignée d'albums folk-blues, sobres et essentiellement acoustiques décident de virer électriquement rock pour rouler comme une pierre de teigne à la Rimbaud, il lui faut un orchestre pour pouvoir l'accompagner sur scène puisqu'il ne pourra plier dans ses bagages le fameux guitariste de blues Mike Bloomfleid qui joue sur I Like a Rolling Stone et les autres perles incendiaires, incandescentes des deux premiers 33 tours électriques de Bob Zimmerman mais Robert Dylan a plus d'une idée dans sa gibecière puisqu'il a déjà volé quelques années auparavant tous les disques de la collection de Dave Van Ronck, donc sans scrupule le petit Robert fait le hold-up sur The Hawks le groupe de rock canadien qui joue sur disque, aussi en concert avec le rocker Ronnie Hawkins, canadien lui aussi, et que Bob Robert Dylan Zimmerman a décidé que c'était le meilleur groupe de rock 'n' roll du moment ! Ce qui ne parait encore aujourd'hui pas idiot si on écoute bien. Le rapt musical du siècle 20 est dans la musette de Jack Fate, le seul vrai nom à retenir de Bob Stagger Lee Dylan, The Hawks se baptisent à nouveau et le nom est simple comme bonjour ! C'est The Band (L'Orchestre), en effet pourquoi chercher midi à quatorze heure ? La suite pendant plus de dix années, douze je crois, jusqu'à une dernière valse en 1978, The Band nous ferons croire que sur scène Bob Dylan existe. Et Ronnie Hawkins dans tout cela me direz vous ? Mais au final, je ne vous en dirait pas plus car je ne désire pas d'escarmouche avec le Président Orange de Donald du Picsouland ; par contre, je le jure sur la Bible, la fois prochaine je vous raconte qu'en fait le Pelvis Presley était une femme.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'.







BONUS

ENCORE...

mardi 11 septembre 2018

À propos de JOHNNY CARROLL.


Demeurons calme et pas la peine de s'armer jusqu'aux dents pour tout vous dire sur le secret de la vérité des deux R et des deux des deux L de Johnny Carroll. Nourri au biberon de la country d'Ernest Trub et de l'écoute assidu de 45 tours, peut-être même des 78 tours !, de Rythm 'n' Blues,  Johnny Carroll va dés l'âge de 10 ans (il est né en 1937) préférer jouer de la guitare plutôt que de collectionner les papillons du moins on est en droit de le supposer. En 1956, il enregistre trois furieux 45 tours de rock 'n' Roll et sous ce nom de Johnny Carroll  il se fait remarquer sous cette appellation car sa marque familiale de fabrique John Lewis Carrell ça ne lui semble pas terrible,  peut-être un problème avec son identité parentale ? En tout cas, Allez hop ! Voilà que l'on change le a en o, cela fait tout de suite plus ce Roll de Carroll mais de là à se présenter en Lewis Carroll faut tout de même pas exagérer ; c'est comme si une Guillaumezézette d'écrivaine qui s'imaginerait qu'un jour ses publications seront enregistrées et rangées à Bibliothèque Nationale à côté d'Apollinaire parce qu'elle a falsifié virtuellement sa carte d'identité en devenant Madeleine Lou... Tout cela serait une imposture tout comme l'est d'affirmer partout officiellement qu'Apollinaire est tombé pour la France certes il a été gravement blessé au front de la Der des Ders mais il n'est mort qu'après et de la grippe espagnole ! Donc pas Lewis Carroll pour le rockabilly, ni de Lou Carroll ou d'Elvis Carroll et même si en 1954... That's Alright Mama ! ..John se souvient-il du film Johnny Guitar ? Paru 2 ans plus tôt ! Tiens, 1954 aussi !? Bref, se sera Johnny Carroll... On ajoute juste n et y au prénom et on troque un o contre un e tout en prenant soin de conserver les r et l doubles initiaux afin de rester bien ancré dans les origines familiales car , ne sachant ce qui rique d'arriver, cela peut toujours servir quand à Lewis il passe lui à la trappe ! Au final il reste des rock 'n' roll furieux et peu connus gravés sur vinyles , dés 1956, sous le patronyme de Johnny Carroll. Bref ! Deux ans plus tard un certain Chuck Berry enregistre et propulse dans les charts Carol mais cela n'a rien à voir avec les choucroutes opportunistes décomposées de celles et ceux qui rêvent que l'on les appelle Guillaumezézette Apollinaire ou Lou Lewis. 

RAAdaRRR


vendredi 7 septembre 2018

À propos de DELBERT BARKER.


DE L'IMPORTANCE D'UN DELBERT BARKER DANS LE ROCKABILLY
par RAAAdaRRR.

DELBERT BARKER avec son Rock 'n Roll tout en retenu... NOUS a toujours caché quelque chose dans son froc cervical et ce qui pourrait au premier abord laisser penser, voir croire, qu'il serait crétin de le considérer comme un rocker majeur ! Mais il y a-t-il eu seulement un seul rocker majeur ? Bref ! Le "rock" de DELBERT BARKER est classiquement plus country-folk des montagnes hillibilly's que bluesy du Mississippi... La version de DELBERT de Blues Suede Shoes a l'air bien sage et propre sur elle mais essayez de capter la seconde ou il lâche un Baby qui en dit vraiment long, on doit même dire plutôt gros, sur ce qui se passe dans son froc et que ce dernier soit de toile ou mentale peu importe ! Ce Baby est tellement subversif ! Waouh ! Puis il y a encore cette partie parlé en début du premier limpide solo de guitare... d'excellents solos au demeurant, comme de la dentelle électrifiée ! Chez DELBERT la sauvagerie du vrai Rock 'n' Roll est contenue mais horriblement présente donc ce qui l'a rend encore plus redoutable et addictive. La version de Blue Suede Shoes n'est peut-être pas la plus spectaculaire mais certainement pas la plus nulle... La meilleure ? Non ! Quoi queue... avec un tel rocker qui a toujours quelque chose, avec une sensuelle retenue, de planquer dans la lingerie mentale de ses frocs, il faut se rendre à l'évidence qu'il est bien plus subversif car plus anonyme qu'une quelconque exhibition de Pelvis et justement c'est là où je voulais en arriver... Le rock le plus sexuellement dérangeant c'est quand il est pudique comme une Sainte Nitouche et là, avec DELBERT, on caresse la palme d'or. 

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edziré.

p.s : Question subsidiaire. Qui a composé et crée Blues Suede Shoes ?