mercredi 31 octobre 2018

À propos de MIKE STERN.



Ah ! Quelle jouissance de dénoncer les surfaites vertues thérapeutiques & pornographiques mais surtout pas phonographique du petit Mike, elles sontconSTERNantes et peut-être encore pires si l'on se prétend être un éveillé de la guitare électrique. Trouver du talent à Mike Stern quand il est en mode band à l'aise, c'est faire dans le dénie de réalité mais crier au génie quand il se rend coupable d'un album solo ! c'est insultant pour Jimi Hendrix et pas que... Solo !? Solo d'une pratique masturbatoire d'une musique jazz fusion dégoulinante de sexe à la Hulk surmonté du complexe Castafiore... -je rie de me voir si belle en ce miroir.- ...afin d'essayer de démontrer queue je sais prendre ma guitare pour un zizi à cause que j'ai joué sur les plus mauvais disques bouffis d'un Davis qui n'était plus le Miles. Vous l'aurez, je l'espère, sans doute compris un univers musical polyperverérectionnel qui ne peut qu'avoir une unique justification d'utilité, celle de pouvoir servir de bande à l'aise sonore dans le recyclage de film classé X des années 80's. Bref ! Cherchez le clitoris, mon cher Boris, on ferme ! Enfin pas encore tout à fait car il faut tout de même finaliser avec sérieux, non ? Tout cela est bien plus scandaleux qu'une désuétude à la Burt Blanca sur laquelle avec le temps on arrive à s'émouvoir de tendresse nostalgique ; puis même si on m'offre l'intégral, avec ou sans casque, de Mike Stern et même dans l'obscurité la plus complètement noire, jamais mais au grand jamais n'espérer, pas même un quart de seconde ! que je pourrais prendre du plaisir à  effeuiller coquinement des parcelles de ma personne au stupre de cette mélasse musicale que même la sécurité sociale, et on la comprend ! ne pourrait rembourser car tout traitement à la Mike Stern provoque des méfaits indésirables incurables. En conclusion, malgré que ce peut laisser croire éventuellement la photo de l'album Upside Downside, nous ne sommes pas en présence d'une tentative d'un disque d'instrumentaux de Patrick Juvet, il n'aurait eu aucun mal à me pas faire pire, ni d'un concept album de C. Jérôme qui aurait fait plus humble et moins tartignole.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'.

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