dimanche 16 décembre 2018

À propos de JANIS MARTIN.


JANIS MARTIN - THE FEMALE ELVIS - Complete Recordings 1956-60.

Et vlan ! Le 11 mai 1956, Janis Martin qui a déjà , le 8 mars de la même année, enregistré 4 titres pour un e.p 45 tours, récidive, non pas cette fois ci à Nashville mais à New York, et c'est à nouveau 4 rock'n'roll's qui démontrent bien qu'à la fin des fins la vérité de cette foutue musique n'est qu'une affaire d'enfantement de foutue cow-girls qui en ont une sacrée paire dans le futal et avec Janis Martin l'expression si elle en avait on l'appellerait mon oncle n'a plus lieu d'avoir lieu. Comme à propos d'Elvis Presley le dirait à son adjoint le commissaire Van der Weyden " Carpentier ! C'est un clown !" et Carpentier rétorque "Non ! Un clone. Un clone, commissaire." Bref ! Si vous n'avez pas compris en lisant ces lignes que les fans d'Elvis Presley au lieu d'aller en pèlerinage à Graceland ferait mieux d'aller à Lourde demander pardon pour avoir dépenser autant d'argent pour se vouer au culte d'un usurpateur qui était au plus qu'un bon chanteur de gospel pour pied tendre et certainement pas à cause de quelques déhanchements de son bas-ventre un authentique rocker. Le rock au final n'est pour le dernier mot qu'une histoire de femelle et ce n'est pas Dick Rivers qui devrait le contre dire puisque son la traduction de son nom d'artiste c'est pour les navires la Tête de Bites que l'on dit une bite et non pas un bite ; et oui ! Si vous ne comprenez pas CELA alors ALLEZ À LOURDE !

p.s : preuve irréfutable ! Le 11 mai 1956, Janis Martin enregistre Little-Bit. 

RAAAdaRRR, ch'caùt dechl'Edzyhr.

samedi 10 novembre 2018

À propos de JACK SCOTT



Salut les nazes de z'humain ! Là, je vais vous sauvez la vie en vous balançant dans les pattes la vraie légende interdite du rock Jacques Scott qui n'est absolument pas ce que le Pelvis est à l'Elvis et dont d'ailleurs ce dernier,... si on presse bien le laid ! - presse-lait, hi hi hi ! - ...est ce que la pu(é)tain est à Pé(u)tain (ça fonctionne aussi à l'envers ! Ce que Pé(u)tain est à la P(é)utain.). Pourquoi dans leur hit-parade intime, les spécialistes du rock 'n roll ne placent jamais, pire ne cite pas très haut Jack Scott devant Gene Vincent, Eddie Cochran et le Pelvis ? Car sa voix grave est trop veloutée ? Qu'il l'a maitrise parfaitement ? Qu'il est né dans l'Ontario au Canada en 1938 ? Que son vrai nom est John Dominico Scafone ? Qu'il n'était pas une femme ? Que ce n'était pas tarlouze et nègre ? Qu'il était trop country... ?

En tout cas, vous n'aimez les slows mais il est irrésistible quand il déclare I Love You dans son Goodbye Baby !?

En tout cas, n'aimez pas la country mais il est magique quand il récite et interprète son Bo's Goin' To Jail. 

En tout cas, vous n'aimez pas le rock mais vous le trouverez surprenant quand il chante et exécute en une minute cinquante seconde son I Never Felt Like This. 

En tout cas, vous n'aimez les trucs cucul la praline mais vous le trouverez époustouflant quand il vient titiller votre libido avec son improbable Bella. 

Bref, si à l'écoute de ce que je viens de vous décrire, vous croyez encore que l'Elvis Pelvis incarne le rock c'est que vous n'avez pas compris que c'était une femme qui n'a jamais excitée, que la Pelvis était une vraie chatte de louloutte en chaleur, que vous êtes bien un cas de résolument naze de z'humain. Vive Jack Scott et sa putain de légende interdite ! Vive Joe Alexander & The Cubans puis en passant Chuck Berry.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'

mercredi 31 octobre 2018

À propos de MIKE STERN.



Ah ! Quelle jouissance de dénoncer les surfaites vertues thérapeutiques & pornographiques mais surtout pas phonographique du petit Mike, elles sontconSTERNantes et peut-être encore pires si l'on se prétend être un éveillé de la guitare électrique. Trouver du talent à Mike Stern quand il est en mode band à l'aise, c'est faire dans le dénie de réalité mais crier au génie quand il se rend coupable d'un album solo ! c'est insultant pour Jimi Hendrix et pas que... Solo !? Solo d'une pratique masturbatoire d'une musique jazz fusion dégoulinante de sexe à la Hulk surmonté du complexe Castafiore... -je rie de me voir si belle en ce miroir.- ...afin d'essayer de démontrer queue je sais prendre ma guitare pour un zizi à cause que j'ai joué sur les plus mauvais disques bouffis d'un Davis qui n'était plus le Miles. Vous l'aurez, je l'espère, sans doute compris un univers musical polyperverérectionnel qui ne peut qu'avoir une unique justification d'utilité, celle de pouvoir servir de bande à l'aise sonore dans le recyclage de film classé X des années 80's. Bref ! Cherchez le clitoris, mon cher Boris, on ferme ! Enfin pas encore tout à fait car il faut tout de même finaliser avec sérieux, non ? Tout cela est bien plus scandaleux qu'une désuétude à la Burt Blanca sur laquelle avec le temps on arrive à s'émouvoir de tendresse nostalgique ; puis même si on m'offre l'intégral, avec ou sans casque, de Mike Stern et même dans l'obscurité la plus complètement noire, jamais mais au grand jamais n'espérer, pas même un quart de seconde ! que je pourrais prendre du plaisir à  effeuiller coquinement des parcelles de ma personne au stupre de cette mélasse musicale que même la sécurité sociale, et on la comprend ! ne pourrait rembourser car tout traitement à la Mike Stern provoque des méfaits indésirables incurables. En conclusion, malgré que ce peut laisser croire éventuellement la photo de l'album Upside Downside, nous ne sommes pas en présence d'une tentative d'un disque d'instrumentaux de Patrick Juvet, il n'aurait eu aucun mal à me pas faire pire, ni d'un concept album de C. Jérôme qui aurait fait plus humble et moins tartignole.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'.

dimanche 28 octobre 2018

À propos de BURT BLANCA & The King Creole.




Le mystère de l'énigme de Burt Blanca vous restera au final complet car il est impossible de vous livrer sa reprise en anglais de La Paloma sous le titre NO MORE paru sur l'album Slow des années 60 enregistré avec The King Creole et produit par Roland Laouge pour le label Relasong. 13 titres qui sont des reprises exceptionnelles de Paul Anka (4 titres !) au Pelvis (un incroyable Love Me tender à pisser de rire et c'est Caro Lhynn' qui ne va pas s'en priver !) en passant sous les portes du pénitencier, le temps de libérer en anglais le traditionnel The House of Rising Hill avec une guitare saturée à ce demander si Jimi Hendrix n'était pas de passage, en incognito ! ce jour là en studio ; quand à la version de Blue Berry Hill... c'est tout simplement extraordinaire de fausse candeur et de foutage de gueule... ,  plus punk que nature !,  ...qui repositionne Johnny Rotten et son clone (pardon clown) de John Lydon en queue de peloton de la grande escroquerie du rock 'n' roll qui tourne en boucle depuis que Frank "Harmonica" Floyd a enregistré quelques faces pour le Sun label de Sam Philips...


...Puis ce 33 tours permet de se bercer d'un Crazy Love qu'initialement le plus grand des rockers du Benelux donc de toutes les galaxies, avait sorti en face du 45 tours Miss Molly sous l'hétéronyme de Winky Hawks [même qu'Ivar Ch'Vavar n'aurait jamais pensé à un truc pareil !].

La révolution de l'internet ne permet pas pour autant à ce jour de capter le sommet de ce grandiose album, à savoir ce NO MORE [La Paloma] qui est un bijou ! Que dis-je une perle ! Il ne vous reste plus qu'à essayer de capter une rediffusion de l'émission Baroque Bordello sur les ondes de Radio Scarpe Sensée qui a cela de programmer dans ses soutes. En attendant afin de vous consoler de cette frustration remettez vous un coup de Caroline qui ne figure pas sur ce 33 tours mais c'est bien aussi et en plus cela peut plaire à votre voisine. 

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'.

p.s : Quand à la pochette, impossible finalemenr de faire plus sexy, subversif et dépravé.



jeudi 4 octobre 2018

À propos du mystérieux RISBO CRONMA alias NUMAEL ANVI.


- RAAAdaRRR, ch'èt mizote ! -



Interlude Jazz dans le paysage de la grande escroquerie du rock 'n' roll ? Que reste-t-il de nos amours ? Enfin de vos amours car je ne me sens pas du tout concerné, ni encore moins responsable pour vos votes électoraux ! Bon, allons droit au but ce disque Jazz existe bien ! La photo du portrait de ce Dracula effrayant n'est pas truquée ! Ce disque cd existe bien et je l'ai "démuché" (Entendez ! Débusqué.) dans une disquerie de secondes mains (Oyez ! Boutique de disques d'occasions) non pas de Namur... -pourquoi cette ville wallonne ? À cause que c'est en Namur eque chl'Edziré, il a découvert la première fois que par là on nommait, en devanture au dessus de la vitrine d'un marchand de disques,  par disquerie ce que l'on appelait en France un disquaire (Il y a-t-il encore de véritables disquaires ?).  ...mais à Tournai ! Bref ! Ce disque est comme un beau diable en ma possession et il démontre bien que si vous allez cracher sur des tombes le mollard vous en revient toujours en plein visage ! Si vous préférez celui qui fait vent plus haut que son trou de balle, il finit toujours par faire un trou au milieu de son dos ! Au final, nous pouvons l'affirmer Boris était bien plus intéressant comme trompettiste qu'écrivain puis qu'Emmanuelle n'avait qu'à pas être téléportée à l'écran par David Hamilton surtout qu'au départ le roman érotique était déjà sacrément nul. Moralité ! Quand on n'est pas vigilent quand on traverse la route pour trouver du travail, on n'a que ce l'on mérite et faut peut-être pas venir pleurer après. Bref ! Faites des efforts puisque la vérité est flagrante.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edziré.

dimanche 30 septembre 2018

À propos de BIG BOPPER.

- RAAAdaRRR au tRAAAvAAAil. -



Big Bopper est à la musique populaire des U.S.A ce que Gozilla est au cinéma d'auteur, ce les chiffres sont à l'alphabet, plus simple ! Ce que la carotte est à la frite. Sa plus grande réussite est d'avoir mis de la crème Chantilly sur la soit disant prétendue subversion du rock 'n' rock et même un Franck Zappa qui aurait été dépucelé au vitriol, ne fait pas le poids à côté de lui ! Alors les Marcels et leurs Zorkhestes puis autre Ritals Ricards de (f)Rance and the Panarre faut-il vous dire qu'ils iraient se rhabiller en chœurs dans tous les Emmaus de ce qui reste de la planète terre qu'absolument rien de rien,  non ! Rien de rien, ma chère Edith ne serait être suffisant à ce qu'ils peuvent... avec leurs déguisements de Deschiens corrompus aux euros-francs de l'alternatif courant des cultureux bobos relookés au punk-camembert et boites à sardines ...piaffer plus délicieusement faussement ridicule que ce Big Bopper improbable et qu'il n'y a eu guère que Frank "Harmonica" Floyd, l'éternel looser de l'écurie Sun Records du bon Sam, docteur chez Philips, pour faire mieux mais cela est une autre histoire comme celle de vous raconter aussi un jour... - Chose due ! Chose promise ! ...que Pelvis Presley n'était pas un homme mais une femelle. Peut-être que l'on pourrait faire entrer en scène le groupe britannique dont j'ai zappé le nom mais que le Camarade de Berck-plage d'Edziré a laissé sous entendre que c'était les Monty Pithon de la rock musique mais ce serait tout de même essayer d'y aller au culot que de se persuader tel un pervers narcissique que ces derniers seraient des philosophes en matière de contre-culture. Tout cela certainement est peut-être exagéré de ma part, ne croyez vous pas ? En tout cas type qui enregistre avec autant de savoir faire une imbécillité telle que "Purple People  Eater Meets The Witch Doctor" avait du bon sang et du sens pertinent dans ses veines. Bip ! Bip ! Super Didier, pas celui de Berck ! n'est qu'une tâche de mauvais pinard qui me nous a jamais fait pas même sourire tandis que Big Bopper, il autorise à nos boyaux de se tordre de rigolade. CHAMPION !

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edziré.

mardi 25 septembre 2018

À propos de RONNIE HAWKINS.




Bob Dylan n'existe pas, du moins le Bob Dylan électrique et qui à Glasgow se serait fait insulter... - un coup de marketing ! - de Judah par un mercenaire des services d'espionnages américains déguisé en beatnick écossais et embauché par le cinéaste Martin Scorsese pour le besoin de la réalisation d'un documentaire. Bob Dylan c'est musicalement un tout, un homme à tout faire et une prodigieuse femme de ménages, un sacré concept à la fois artistique et culturel qui existe tout en n'existant pas !? J'imagine vos têtes ! Cela peut paraître complexe et improbable pourtant j'ai rassemblé des preuves irréfutables qui ne sont d'ailleurs pas dissimulées et ne l'ont jamais été, tel ce film de Larry Charles paru en 2003 "Masked & Anonymous" qui est l'une des pierres angulaires au sujet de l'une des multiples caractéristiques identitaires de Bob Dylan. Tout aussi fondamental est ce point qui concerne le lien entre le rocker canadien Ronnie Hawkins et Robert Zimmerman alias et soit disant Bob Dylan ; lorsque que Bob Dylan après une poignée d'albums folk-blues, sobres et essentiellement acoustiques décident de virer électriquement rock pour rouler comme une pierre de teigne à la Rimbaud, il lui faut un orchestre pour pouvoir l'accompagner sur scène puisqu'il ne pourra plier dans ses bagages le fameux guitariste de blues Mike Bloomfleid qui joue sur I Like a Rolling Stone et les autres perles incendiaires, incandescentes des deux premiers 33 tours électriques de Bob Zimmerman mais Robert Dylan a plus d'une idée dans sa gibecière puisqu'il a déjà volé quelques années auparavant tous les disques de la collection de Dave Van Ronck, donc sans scrupule le petit Robert fait le hold-up sur The Hawks le groupe de rock canadien qui joue sur disque, aussi en concert avec le rocker Ronnie Hawkins, canadien lui aussi, et que Bob Robert Dylan Zimmerman a décidé que c'était le meilleur groupe de rock 'n' roll du moment ! Ce qui ne parait encore aujourd'hui pas idiot si on écoute bien. Le rapt musical du siècle 20 est dans la musette de Jack Fate, le seul vrai nom à retenir de Bob Stagger Lee Dylan, The Hawks se baptisent à nouveau et le nom est simple comme bonjour ! C'est The Band (L'Orchestre), en effet pourquoi chercher midi à quatorze heure ? La suite pendant plus de dix années, douze je crois, jusqu'à une dernière valse en 1978, The Band nous ferons croire que sur scène Bob Dylan existe. Et Ronnie Hawkins dans tout cela me direz vous ? Mais au final, je ne vous en dirait pas plus car je ne désire pas d'escarmouche avec le Président Orange de Donald du Picsouland ; par contre, je le jure sur la Bible, la fois prochaine je vous raconte qu'en fait le Pelvis Presley était une femme.

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edzyhr'.







BONUS

ENCORE...

mardi 11 septembre 2018

À propos de JOHNNY CARROLL.


Demeurons calme et pas la peine de s'armer jusqu'aux dents pour tout vous dire sur le secret de la vérité des deux R et des deux des deux L de Johnny Carroll. Nourri au biberon de la country d'Ernest Trub et de l'écoute assidu de 45 tours, peut-être même des 78 tours !, de Rythm 'n' Blues,  Johnny Carroll va dés l'âge de 10 ans (il est né en 1937) préférer jouer de la guitare plutôt que de collectionner les papillons du moins on est en droit de le supposer. En 1956, il enregistre trois furieux 45 tours de rock 'n' Roll et sous ce nom de Johnny Carroll  il se fait remarquer sous cette appellation car sa marque familiale de fabrique John Lewis Carrell ça ne lui semble pas terrible,  peut-être un problème avec son identité parentale ? En tout cas, Allez hop ! Voilà que l'on change le a en o, cela fait tout de suite plus ce Roll de Carroll mais de là à se présenter en Lewis Carroll faut tout de même pas exagérer ; c'est comme si une Guillaumezézette d'écrivaine qui s'imaginerait qu'un jour ses publications seront enregistrées et rangées à Bibliothèque Nationale à côté d'Apollinaire parce qu'elle a falsifié virtuellement sa carte d'identité en devenant Madeleine Lou... Tout cela serait une imposture tout comme l'est d'affirmer partout officiellement qu'Apollinaire est tombé pour la France certes il a été gravement blessé au front de la Der des Ders mais il n'est mort qu'après et de la grippe espagnole ! Donc pas Lewis Carroll pour le rockabilly, ni de Lou Carroll ou d'Elvis Carroll et même si en 1954... That's Alright Mama ! ..John se souvient-il du film Johnny Guitar ? Paru 2 ans plus tôt ! Tiens, 1954 aussi !? Bref, se sera Johnny Carroll... On ajoute juste n et y au prénom et on troque un o contre un e tout en prenant soin de conserver les r et l doubles initiaux afin de rester bien ancré dans les origines familiales car , ne sachant ce qui rique d'arriver, cela peut toujours servir quand à Lewis il passe lui à la trappe ! Au final il reste des rock 'n' roll furieux et peu connus gravés sur vinyles , dés 1956, sous le patronyme de Johnny Carroll. Bref ! Deux ans plus tard un certain Chuck Berry enregistre et propulse dans les charts Carol mais cela n'a rien à voir avec les choucroutes opportunistes décomposées de celles et ceux qui rêvent que l'on les appelle Guillaumezézette Apollinaire ou Lou Lewis. 

RAAdaRRR


vendredi 7 septembre 2018

À propos de DELBERT BARKER.


DE L'IMPORTANCE D'UN DELBERT BARKER DANS LE ROCKABILLY
par RAAAdaRRR.

DELBERT BARKER avec son Rock 'n Roll tout en retenu... NOUS a toujours caché quelque chose dans son froc cervical et ce qui pourrait au premier abord laisser penser, voir croire, qu'il serait crétin de le considérer comme un rocker majeur ! Mais il y a-t-il eu seulement un seul rocker majeur ? Bref ! Le "rock" de DELBERT BARKER est classiquement plus country-folk des montagnes hillibilly's que bluesy du Mississippi... La version de DELBERT de Blues Suede Shoes a l'air bien sage et propre sur elle mais essayez de capter la seconde ou il lâche un Baby qui en dit vraiment long, on doit même dire plutôt gros, sur ce qui se passe dans son froc et que ce dernier soit de toile ou mentale peu importe ! Ce Baby est tellement subversif ! Waouh ! Puis il y a encore cette partie parlé en début du premier limpide solo de guitare... d'excellents solos au demeurant, comme de la dentelle électrifiée ! Chez DELBERT la sauvagerie du vrai Rock 'n' Roll est contenue mais horriblement présente donc ce qui l'a rend encore plus redoutable et addictive. La version de Blue Suede Shoes n'est peut-être pas la plus spectaculaire mais certainement pas la plus nulle... La meilleure ? Non ! Quoi queue... avec un tel rocker qui a toujours quelque chose, avec une sensuelle retenue, de planquer dans la lingerie mentale de ses frocs, il faut se rendre à l'évidence qu'il est bien plus subversif car plus anonyme qu'une quelconque exhibition de Pelvis et justement c'est là où je voulais en arriver... Le rock le plus sexuellement dérangeant c'est quand il est pudique comme une Sainte Nitouche et là, avec DELBERT, on caresse la palme d'or. 

RAAAdaRRR, ch'Caùt dechl'Edziré.

p.s : Question subsidiaire. Qui a composé et crée Blues Suede Shoes ?